«Se présente ce jour la personne ci-dessus dénommée qui nous informe que son mari a quitté le domicile conjugal le 9 mars 2018 et a pris un logement. »
«J’étais sous curatelle mais plus maintenant, elle est enfin partie. J’ai une “topine” qu’elle veut mon copain. J’ai un copain et elle veut me le piquer donc elle m’insulte et sa maman appelle pour m’insulter aussi et elle repasse sa fille qui m’insulte encore derrière de pute. Elle insulte aussi mon copain de pute et elle tape un autre copain. Mon copain ne veut pas aller avec elle.
Elle a menacé de me harceler et de ne pas me lâcher si je ne lui laissais pas mon copain. Main courante rédigée à toutes fins utiles. »
«J’ai aidé une femme irakienne contre son mari irakien lors d’une séparation. Ce matin, je l’ai croisé et comme d’habitude, il m’insulte. Je ne sais pas ce qu’il me dit car il parle irakien donc je ne comprends pas ce qu’il dit. Il a pris une photo de moi et mon compagnon avec son téléphone en disant qu’il allait déposer plainte à la police. Je lui ai dit qu’il doit me parler en libanais car je ne parle pas irakien, qu’il ferait mieux d’aller trouver du travail que de mendier.
Il est en France et il ne travaille même pas, il a la nationalité anglaise, il doit faire des falsifications pour magouiller pour avoir de l’argent.
Main courante rédigée à toutes fins utiles. »
«Ce jour vers 12 h 30, une jeune femme a sonné à ma porte d’appartement et elle s’est présentée comme étant la petite amie de mon concubin. Elle semblait ignorer qu’il vit avec moi et que nous avons toujours une relation ensemble.
Celui-ci s’est emporté et nous a agressées verbalement toutes les deux. Il a voulu me frapper et je me suis enfuie en courant avec l’autre jeune femme.
J’ai ensuite prévenu par Messenger le frère de mon concubin pour qu’il vienne le récupérer afin de libérer mon appartement mais le frère s’est mis à me menacer violemment de mort. »
«Ce jour, vers 11 heures, deux femmes se sont présentées comme étant de la CAF et devant absolument me faire signer une protection juridique pour avoir une aide administrative. Elles m’ont demandé de présenter ma quittance de loyer où figurent mes coordonnées bancaires. Elles ont dit que cette assistance juridique allait m’être donnée gratuitement. J’y ai cru. Ça semblait réel. Mais elles sont parties après m’avoir fait signer deux feuilles. Je ne sais pas ce que j’ai signé du coup car elles ont “embarqué” le soi-disant contrat en refusant de me laisser le lire. Après coup, j’ai commencé à avoir des doutes.
Je vais aviser le CIC dès ce jour et leur remettre copie ainsi que le bailleur, ainsi que la CAF pour cette affaire. Pour le moment, je n’ai aucun préjudice mais si je devais être victime d’une usurpation d’identité ou d’une escroquerie, je reviendrai vers vous pour déposer plainte. »