Nouvelle série. Avant d’entrer dans un octogone de MMA dans quelques mois, notre journaliste va s’endurcir en Thaïlande. Où vies de cocagne et de castagne cohabitent.
Nouvelle série. Avant d’entrer dans un octogone de MMA dans quelques mois, notre journaliste va s’endurcir en Thaïlande. Où vies de cocagne et de castagne cohabitent.
L’organisme public sera financé via une contribution obligatoire de tous les acteurs du secteur. Les plateformes enragent, Spotify et Deezer en tête.
Une taxe ou une contribution volontaire ? Controversée, la seconde piste est à l’étude pour boucler le budget du Centre national de la musique.
Injures et règlements de comptes : le financement du CNM vire au vaudeville. Et à la fin, c’est Bercy qui décidera si les plateformes sont taxées.
Soutenue par Universal, la plateforme va changer son mode de rémunération, scrutant le lien avec les fans plus que le pur volume de streams. Une bascule.
Denier du culte agressif, séminaire coûteux, création d’un fonds de placement… Les Saint-Martin auraient-ils un rapport malsain à l’argent ?
Bien qu’elle s’abrite toujours derrière son statut d’hébergeur, la plateforme fait le tri : elle garde Joe Rogan mais bannit Alain Soral.
Pour dénoncer des propos antivax dans un podcast, le rockeur quitte la plateforme… qui n’en a cure. Le désamour avec les artistes s’aggrave.
Info « Les Jours ». Betclic a reçu une aide publique alors que l’industrie prospère sur l’addiction et cible les jeunes de banlieue.
Après chaque compétition, l’UEFA laisse derrière elle des stades démesurés qui coûtent une fortune aux villes et sont laissés en déshérence.
Les joueurs s’acharnent à arracher à la Fédération des sommes folles… mais dérisoires à leur échelle. Indécent ou logique ?
Info « Les Jours ». La Cour des comptes enquête sur l’argent du foot, qui ne ruisselle pas jusqu’aux petits clubs. Tel l’AS Brignoles.
Le système du « user centric » est censé mieux partager le butin des écoutes. Le Centre national de la musique vient de faire les comptes.
Système oblige, les candidats misent tout sur quelques États. Biden a les minorités avec lui ; Trump, le souvenir du hold-up de 2016.
Des sommes astronomiques déferlent sur les campagnes des deux candidats. La faute à un financement électoral totalement dérégulé.