Cent jours de guerre (2/2). Or S. a réchappé du festival visé par le Hamas, puis a poursuivi son service militaire. Jusqu’à pénétrer dans Gaza.
Comme beaucoup de journalistes, j’apprécie la chance d’exercer ce travail qui me permet d’apprendre un peu de tous les autres. En enquêtant de près sur les arnaqueurs franco-israéliens, par exemple, j’ai appris que la tchatche peut tout. Et que généralement, les choses finissent mal. Puis, en chroniquant les méthodes du « magicien » Benyamin Netanyahou pour rester au pouvoir, j’ai aussi appris, en fait, que la tchatche peut tout, et que généralement les choses finissent mal ; et plus récemment encore, en observant les flambées déclaratoires des dirigeants du Hamas… Somme toute, c’est un travail un peu répétitif.