Salut, c’est moi Emmanuel Macr… TG ! Oui, TG, ta gueule, Jupiter. La ferme, le maître des horloges (lire l’épisode 1, « Maître des horloges et boussole médiatique »). Veuillez avoir l’obligeance de clore votre présidentiel clapet, le CEO de la France. Plus question d’intervenir dans les épisodes des Jours comme vous en aviez pris la vilaine petite habitude, Emmanuel Macron. Oui, c’est fini tout ça car, dans cette obsession qui s’interroge sur votre état de grâce, la voilà, elle est là : la disgrâce. L’honnie, la redoutée, l’abhorrée, celle qu’il va falloir tout faire pour tenter d’occire. Oui, tout, jusqu’à l’extrême. Telle cette visite jeudi dernier à la base de plein air et de loisirs des Boucles de Seine « à la rencontre des enfants qui ne partent pas en vacances », comme l’indiquait cette accorte « Note aux rédactions » qui nous y invitait. Cette visite en forme de tentative désespérée au cours de laquelle Les Jours, qui n’ont jamais peur d’enfiler leur gilet à poches de grand reporter, fut-ce au-delà du périphérique, vous ont suivi, Président.
Comment faire pour résister, aussi, quand on vous aguiche en vous promettant une « déambulation du président de la République à la rencontre des enfants », un « atelier voile puis apiculture avec les enfants de Créteil », ainsi qu’un « déjeuner au self-service » de ladite base de loisirs. Le tout ingénument présenté dans la note de l’Élysée comme une « séquence », dans le plus pur langage de communication politique.