«Je suis aide-soignante, je travaille à la résidence X. Je travaillais dans la nuit du 20 au 21 novembre 2019 avec mon collègue, qui est aide-soignant également. À partir de 3 h 10 du matin, je ne l’ai plus trouvé dans la résidence. Je l’ai appelé mais il ne m’a pas répondu. À 6 h 30 du matin, ma collègue qui me relevait m’a informée avoir trouvé mon collègue en train de dormir dans une salle de massage au rez-de-chaussée. J’ai avisé l’infirmière coordinatrice de la résidence, qui a invité mon collègue à ne plus se présenter.
La nuit suivante, à 1 h 50, il est revenu pour m’insulter, il m’a traitée de chienne et de pourrie. Il a même bloqué la porte avec son pied. Il voulait me provoquer. Ensuite, il est parti. Je ne vois rien d’autre à ajouter. Main courante à toutes fins utiles. »