« Constatons que se présente à nous… » C’est souvent ainsi que démarre une « main courante », ces dépositions qu’on fait au commissariat pour laisser une trace officielle d’un incident. La main courante peut parfois, si les faits se répètent, donner lieu à une plainte, voire alimenter une enquête policière. « Les Jours » publient ces instantanés de société tels qu’ils nous arrivent d’un commissariat quelque part en France.
«Je viens de signaler les nuisances sonores répétées sous forme de cris suite à une alcoolisation quotidienne. La personne m’insulte et tape régulièrement sur son sol (mon plafond) en pleine nuit, ce qui me réveille. Cela a un impact sur ma santé, je suis épuisé et ainsi plus sensible aux maladies. L’auteur des faits est mon voisin du dessus. »