« Constatons que se présente à nous… » C’est souvent ainsi que démarre une « main courante », ces dépositions qu’on fait au commissariat pour laisser une trace officielle d’un incident. La main courante peut parfois, si les faits se répètent, donner lieu à une plainte, voire alimenter une enquête policière. « Les Jours » publient ces instantanés de société tels qu’ils nous arrivent d’un commissariat quelque part en France.
«Ce 9 juillet, j’ai fait un chèque pour aider X, une amie de ma belle-mère, pour payer ses courses d’un montant de 150 euros. Cette dernière s’est engagée oralement à rembourser l’intégralité de la somme. Actuellement en froid avec ma belle-mère, X refuse de me rembourser ces 150 euros. »