Ce jour, monsieur X se présente au service et nous demande de constater l’usure de ses pneus et de lui dire s’il est dans la légalité.
Effectivement, il nous présente un courrier d’un expert automobile l’avisant d’une usure avancée de ses pneumatiques avant. L’expertise du 16 janvier 2020 a été faite suite à un dommage latéral à 5 km/h, selon le déclarant.
Constatons que les pneumatiques avant sont loin d’être au niveau du témoin d’usure et qu’aucune infraction n’est à constater.
Monsieur X nous déclare ne pas bien comprendre le lien entre une supposée usure avancée (non constatée) et un choc latéral (un frottement en sortie de parking sans freinage) par temps sec.