« Constatons que se présente à nous… » C’est souvent ainsi que démarre une « main courante », ces dépositions qu’on fait au commissariat pour laisser une trace officielle d’un incident. La main courante peut parfois, si les faits se répètent, donner lieu à une plainte, voire alimenter une enquête policière. « Les Jours » publient ces instantanés de société tels qu’ils nous arrivent d’un commissariat quelque part en France.
«Le 1er septembre, vers 16 h 45, ma voisine a injurié ma fille à plusieurs reprises. Je suis donc partie voir ma voisine et, à mon arrivée, elle m’a insultée. Elle m’a tiré les cheveux et, pour me défendre, je lui ai mis un coup de poing. »