«Mme X continue de me harceler régulièrement en me menaçant de me faire tuer par des gens et de déposer de fausses plaintes contre moi si je persiste toujours à refuser de finaliser la procédure de mariage en France dans le but qu’elle obtienne son titre de séjour.
Je ne supporte plus ses appels et j’aimerais qu’elle soit contactée afin de lui dire de me laisser tranquille. Déclaration rédigée à toute fin utile. »
«Vers le 10/09/2016, j’ai vendu mon ancien véhicule Renault à une jeune femme. J’ai oublié de transmettre à la préfecture les papiers concernant cette vente. Peu de temps après, j’ai déménagé pour résider à mon adresse actuelle.
Mi-janvier 2018, mon père a reçu chez lui un avis d’opposition administrative à mon nom mentionnant quelques infractions pour un montant total de 1 875 euros. Je me suis rendu au service des amendes et on m’a informé que c’était lié à des infractions commises avec cette voiture à partir de janvier 2017. J’ai alors compris que Mme X n’a jamais fait la carte grise de cette voiture à son nom. Plusieurs infractions de stationnement ont été commises avec cette voiture après que je l’ai vendue. Avec les majorations, cela représente la somme de 5 625 euros au total.
N’étant pas responsable de ces infractions et n’étant plus le propriétaire et détenteur de cette voiture depuis le 10/09/2016, je conteste donc le fait qu’on me réclame ces sommes. J’aimerais que les services compétents régularisent la situation concernant ce véhicule pour que je ne reçoive plus de contraventions liées à cette voiture, et que le service des amendes réclame les sommes dues à la personne concernée. »
«Je viens vous déclarer que je fais l’objet de chantage à la vidéo et que j’ai donné 150 euros à une personne prétendant être sur le point de diffuser ma vidéo à mes contacts Facebook et Messenger, ainsi que sur des sites pornographiques. J’ai reçu des avertissements soi-disant de YouTube qui m’avisait que ma vidéo avait été bloquée et que je risquais une amende et une peine d’emprisonnement (sous 48 heures je devais faire le nécessaire pour retirer cette vidéo).
Je vais bloquer cette personne sur vos conseils et faire le nécessaire au niveau de mes comptes Facebook et Messenger. »
«Je me présente à votre service suite aux tapages nocturnes et diurnes de mes voisins, de l’appartement numéro 1. Je réside à cette adresse depuis 2006. Depuis l’arrivée de mes nouveaux voisins, ma vie devient un enfer. La musique joue à fond régulièrement.
Le jeudi 15 février 2018 à 14 heures, Mme X avait mis la musique à fond. Je lui ai demandé de bien vouloir baisser le volume mais elle a refusé. Elle m’a fait comprendre qu’elle avait l’habitude de la mettre à fond durant son ménage et que je ne suis pas dans mon logement habituellement et qu’elle faisait ce qu’elle voulait. Mme X m’a dit que j’étais chiante, car je venais sonner la journée et le soir, et qu’elle payait un loyer, ce qu’il l’autorise à faire ce qu’elle veut.
Vendredi 15 février 2018, Mr Y est venu sonner à ma porte. Nous avons eu un échange cordial. Puis Mme X est intervenue et a dit qu’il y aurait une fête ce samedi 17 février 2018. J’ai demandé à ce que la fête ne dure pas toute la nuit, et que je leur laissais jusqu’à 23 h 30/minuit. Ce soir-là, deux voisins sont venus à mon domicile constater les nuisances. Mon amie était également présente sur place. Finalement, la fête à perduré jusqu’à 1 h 15.
Depuis quelque temps, je ne dors plus et je suis à bout nerveusement. Aucun effectif de police ne se déplace par manque d’effectifs, selon les déclarations de mon interlocuteur. Je me sens abandonnée.
Je souhaiterais que le nécessaire soit fait, car je travaille tous les jours et je prépare des concours en ce moment. Ce qui explique que j’ai besoin de récupérer (je travaille, je me rends à la fac qui me fait de grosses journées). Je n’ai rien à rajouter quant à présent. »
«Vendredi 27/04/2018, vers 23 heures-23 h 30, je promenais mon chien et je suis passée à côté d’un groupe d’individus semblant être des étrangers en situation irrégulière. Le chien a un peu grogné et l’un d’eux l’a insulté puis il m’a suivie jusqu’à ma ruelle et là, il s’est adressé à moi en me désignant l’immeuble où je réside. Il est ensuite parti.
Cela m’inquiète qu’ils sachent où je réside, d’autant plus que je suis seule la plupart du temps. Je ne me sens plus en sécurité. »