«Je me présente à votre service ce jour, car depuis une semaine, M. X me réclame la somme de 1 700 euros pour, selon ses dires, effectuer des réparations sur un véhicule que je lui ai vendu. Je vous précise que le contrôle technique avait été fait, comme vous pouvez le constater sur les photos que je vous montre.
Selon ses dires, trois semaines après, le véhicule avait des problèmes (sans plus de précisions) et le devis s’élevait à 1 700 euros. À travers nos échanges via SMS, vous pouvez constater que ce monsieur refuse que je lui verse 1 700 euros via mandat cash (car il estime que c’est une arnaque) et refuse toutes les solutions que je lui propose. Il veut 1 700 euros, mais sans que je puisse avoir une trace et le motif du versement de cette somme à son attention.
Voyant que je suis quelqu’un qui essaie de faire les choses correctement, il m’indique qu’il déposera plainte contre moi à 12 heures pour abus de confiance. Il refuse également qu’on aille voir un autre garage.
À travers les preuves que je vous montre, vous pouvez constater mes dires. »
«Hier, vers 3 heures du matin, j’étais avec des amis et des individus sont venus nous causer des problèmes. J’étais alcoolisé mais pas ivre. Un de ces individus m’a donné un coup de poing. Je l’ai repoussé en disant que je ne voulais pas de problèmes puis il m’a redonné un coup de poing. J’ai rétorqué en lui donnant un coup de poing également puis ses potes sont venus me frapper à coups de pied également. Des amis ont fait croire qu’ils allaient appeler la police et les individus ont pris la fuite.
Je peux juste dire qu’il y avait au moins huit individus âgés de 18-23 ans de type maghrébin, caucasien. J’avais des ecchymoses légères donc j’ai consulté mon médecin traitant.
Je ne désire pas déposer plainte mais je fais cette déclaration à la demande de mon supérieur de mon régiment. »
«Je me présente à votre service afin de vous informer que mon mari a quitté notre domicile, depuis le mois de décembre 2017. J’ai su qu’il a une autre femme dans sa vie, dont j’ignore l’identité. J’ignore où mon mari vit actuellement. Je sais qu’il a trois enfants avec cette femme.
J’ai posé des questions à sa sœur, mais elle m’indique n’être au courant de rien. Mon mari n’est plus au sein de notre domicile, et a gardé les clés.
C’est tout pour l’instant. »
«Depuis mars 2017, j’ai des nouveaux voisins au-dessus qui sont très bruyants. La femme utilise mon toit qui fait un peu office de balcon pour elle pour pendre son linge alors qu’elle n’y a pas propriété. Ça cause des nuisances sonores que je ne devrais pas subir. Je n’ai donc pas de très bonnes relations avec eux.
Je suis montée la voir pour lui demander de faire moins de bruit. Elle m’a dit que c’était ramadan, qu’elle avait le droit et que je n’avais rien à dire. Je suis restée dans mon jardin et sa fille a lancé des oignons dans mon jardin sans réussir à me toucher. Je me suis mise à pleurer et dans la soirée ils ont frappé à ma porte et toute la famille était là, parlant dans leur langue que je ne comprenais pas.
Une fille a essayé de parler français pour s’excuser et qu’ils essayaient de faire moins de bruit. Je ne sais plus ce que j’ai répondu mais ça a dérapé et je me suis fait tirer les cheveux et j’ai reçu un coup sur les côtes sans m’en rendre compte, je ne peux pas dire comment ça s’est passé.
Je ne désire pas porter plainte pour le moment mais m’y réserve le droit. Je prends acte que je peux contacter le service médico-légal pour me faire examiner. Main courante rédigée à toutes fins utiles. »
«Ce jour à 19 h 30, je dormais sur la voie publique dans le parc avec ma sacoche sous ma tête. Je me suis réveillé en sursaut quand j’ai remarqué un individu, pas de descriptif particulier, partir en courant avec ma sacoche. Je ne suis pas en mesure de le reconnaître. Je n’ai pas de témoin des faits.
Non blessé, je n’ai pas sollicité vos services. Il s’agit d’un sac à dos vert siglé Quechua. Je n’accorde pas d’importance à ce sac et au contenu, en l’occurrence divers papiers. En ce sens, je ne dépose pas plainte mais tiens à vous signaler les faits au cas où il serait retrouvé.
Je n’ai rien d’autre à déclarer. »