«Ce jour, vers 14 h 30, mon fils s’est rendu au cabinet d’orthophoniste à environ 500 mètres de la maison, comme à l’habitude.
Vers 14 h 49, j’ai reçu un appel du cabinet m’informant d’un incident qui s’est produit dans la salle d’attente. Sur place, j’ai alors appris qu’une dame se faisant passer pour un docteur a touché plusieurs fois la gorge de mon fils (qui est dysphasique) et quand l’orthophoniste est venue le chercher, elle lui a demandé s’il connaissait la dame. Ce qui n’était pas le cas, et la dame a alors eu des propos étranges disant que ce cabinet allait tuer mon fils, et qu’elle allait revenir faire exploser ce cabinet. Cette femme est ensuite partie.
L’orthophoniste a dit que cette femme avait un comportement suspect et ne semblait pas jouir de toutes ses facultés. J’effectue donc cette déclaration à toutes fins utiles. »
«Ce jour vers 9 heures, je suis parti de mon domicile pour me rendre à la salle de sport. Vers 10 h 30, en rentrant à mon domicile, j’ai senti une odeur ignoble. Il y avait un produit sur la semelle du fer à repasser et, en chauffant, il y a un film plastique qui se forme et abîme mes vêtements. Des rayures sur mes meubles. On abîme les sols de mon appartement. Il y a des déplacements d’objets dans mon domicile. On me prend le courrier dans mon appartement que l’on me rend des semaines après. On fait la même chose dans mon véhicule. Il n’y a pas d’effraction à mon domicile et je change les serrures régulièrement. Je suis le seul à posséder les clés et je ne les ai pas perdues. J’ai acheté les serrures chez plusieurs serruriers et, après avoir changé la serrure, il y a une intrusion sans effraction à mon domicile.
Je n’ai rien d’autre à ajouter. »
«Je loue une maison et mes locataires m’ont signalé qu’il y avait régulièrement des personnes alcoolisées devant ma maison et aussi dans le passage d’accès. Certains de ces individus installent des matelas au sol.
Je fais cette déclaration à toutes fins utiles. »
Constatons que se présente à nous la personne ci-dessus nommée qui nous déclare : « Début janvier 2018, j’ai déposé mon téléphone portable dans une boutique afin d’estimer les réparations à prévoir pour le remettre en fonction. Le 24 janvier 2018, je me suis rendue à la boutique mais elle était fermée. Entre cette date et ce jour, je m’y suis rendue régulièrement, en vain. En effet, le commerce est constamment fermé et il n’y a aucune possibilité pour les contacter.
Je prends acte des démarches à effectuer et, en fonction, je reviendrai vers vous afin d’effectuer un dépôt de plainte si besoin. »