
Seul en Seine
Fait divers. Chaque jour, « Les Jours » exhument une « Nouvelle en trois lignes » écrite par Félix Fénéon en 1906 dans « Le Matin ».
Texte
Félix Fénéon
Illustration
Félix Vallotton, « Félix Fénéon dans le bureau de La Revue blanche »
Avant de sauter dans la Seine, où il est mort, M. Doucrain avait écrit sur son carnet :
« Pardonne, papa. Je t’aime bien. » (Le Matin, 1906)