La brigade des stups quitte le quai des Orfèvres ; l’immersion du reporter s’achève. Le trafic de drogue, lui, est toujours là.
Son rôle dans la série.
À 31 ans, elle est la dernière recrue du groupe Surdoses. Elle lit Le Rouge et le Noir pendant les planques. Elle s’adonne au slam – « du bricolage sonore », d’après elle –, sur son temps libre. Elle a passé cinq ans dans un groupe stups de Saint-Denis. Avec ses taches de rousseur, ses tempes rasées et sa longue mèche tombant sur le front, Émilie a tout d’une héroïne de manga. Du genre à saluer ses collègues en leur assénant un faux front kick, un coup de pied à la tête. Je la surnomme ainsi, « Front Kick ».
Par Alexandre Kauffmann
La brigade des stups quitte le quai des Orfèvres ; l’immersion du reporter s’achève. Le trafic de drogue, lui, est toujours là.
En garde à vue, le dealer nie en bloc. Sans savoir que, dans la pièce d’à côté, quelqu’un est en train de le balancer.
Après cinq mois d’enquête, c’est le grand jour : les policiers de la brigade des stups vont arrêter Omar le dealer.
Les enquêteurs de la brigade des stups suivent à la trace le dealer. Mais la filature ne se passe pas comme prévu…
Entre deux surveillances de dealers, les enquêteurs des stups embarquent le reporter au stand de tir.
Incognito, les enquêteurs passent la soirée dans un café pour surveiller Omar, le dealer, et identifier Gencive, son boss.
À coups de planques et filatures, le groupe Surdoses remonte la piste d’une grande famille de trafiquants de Seine-Saint-Denis.