Tahar Akermi, éducateur depuis près de 30 ans, fait figure de promoteur officiel du vivre-ensemble dans une ville traumatisée.
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Julien Goldstein est né en 1979. Après des débuts comme assistant chez Magnum, il décide de poursuivre une carrière de photojournaliste. En partant de son histoire personnelle, Julien a travaillé sur les transitions des anciennes républiques soviétiques comme la Roumanie, l’Ukraine, la Biélorussie, la Moldavie et la République autoproclamée de Transnistrie en États démocratiques. Particulièrement intéressé par la Turquie et par les enjeux géopolitiques liés au peuple kurde, il a achevé un projet de cinq ans intitulé « Kurdistan, la colère d’un peuple sans droits », pour lequel il a reçu une subvention de la Fondation Lagardère en décembre 2009. Ce travail a été publié dans un livre en janvier 2012 et exposée à Visa pour l’image, à Perpignan, en septembre 2012. Il a aussi été finaliste du Visa d’Or Magazine. Ses photographies sont régulièrement publiés dans la presse française et internationale : Geo France, Le Monde, M le magazine du Monde, Courrier international, L’Équipe magazine, The New York Times, Newsweek, La Repubblica, Der Spiegel…
Tahar Akermi, éducateur depuis près de 30 ans, fait figure de promoteur officiel du vivre-ensemble dans une ville traumatisée.
« Grâce à Allah le très généreux », l’équipe de foot à cinq de La Roquette cartonne. Dans une ambiance parfois étouffante.
À Lunel, les élus instrumentalisent les communautés et les clubs de foot. Et à la fin, c’est la chose publique qui perd.
Ce club est la fierté de la ville. Mais en cette fin d’année, il cristallise aussi une partie de ses maux. Récit en photos.
Compétition, social ou familial ? À Lunel, le foot a plusieurs visages, mais partout la question identitaire affleure.