Depuis 1999, la frontière franco-britannique tue et tue encore. « Les Jours » remontent le fil d’un carnage silencieux et éminemment politique.
Des journalistes qui aiment les datas ? C’est une espèce rare car, il faut quand même se l’avouer, on a majoritairement fait ce métier pour fuir les chiffres… Alors quand on a décidé en 2012 de se consacrer au journalisme de données, c’est-à-dire de raconter des histoires avec des datas, on nous a regardés bizarrement. Puis avec curiosité. Et de deux, on est devenus une équipe complète qui écrit chaque jour en datas pour des médias, des think tanks, des ONG, des institutions… et occasionnellement pour Les Jours.
Cette écriture, elle est vraiment spéciale : elle est technique et enquêtée grâce à nos datajournalistes et datascientists, elle est visuelle et animée grâce à nos designers et elle est interactive grâce à nos développeurs. Mais surtout, ce qu’on aime à WeDoData, c’est que la data ne soit pas cantonnée à un thème ou à un secteur, elle est partout.
En 2018, pour notre première grosse collaboration avec Les Jours, la série À data sur la politique, on était allés chercher au-delà de la communication maîtrisée des élus, grâce aux données. Pour notre deuxième collaboration en 2023, on donne à voir pour la première fois une réalité méconnue et jamais quantifiée aussi précisément : les morts en Manche.
Retrouvez-nous sur notre site web : wedodata.fr
Depuis 1999, la frontière franco-britannique tue et tue encore. « Les Jours » remontent le fil d’un carnage silencieux et éminemment politique.
Contre ceux qui vandalisent les pages des élus, une petite communauté de wikipédiens défend héroïquement la forteresse encyclopédique.
Mieux qu’un sondage, l’encyclopédie en ligne est un bon baromètre de la notoriété des élus de l’Assemblée. La preuve en données.
Sur Twitter, chaque élu a son média chouchou, proche de ses idées politiques, et qu’il mentionne à tout bout de champ.
Sur le réseau social, les députés ne cessent de relayer leurs propres interviews dans les médias. Mais pas n’importe lesquels…
Pendant les questions au gouvernement, certains députés se sont fait une spécialité de jouer les élèves dissipés… Voici leurs noms.
Un an après leur élection, les novices macronistes sont de plus en plus absents lors des votes à l’Assemblée nationale.
Plongée dans les connexions Twitter entre élus, qui dévoilent les rapports de force et de proximité à l’Assemblée nationale.