«L’avenir, c’est la trahison des promesses. » La belle phrase que voilà, signée de Daniel Pennac, est venue d’un coup nous perforer le cœur pour y glisser, tel un insert coulant dans une pâtisserie, le poison de l’infamie. Oui, nous avons trahi notre promesse scellée ici-même le 22 octobre dernier et gravée de pixels : « Les Jours, écrivions-nous alors, vont explorer et dévoiler chaque détail de la vie privée de “Jadou” dont la love-story avec “Nono” éclabousse le monde entier de bonheur depuis sept ans. » Et puis ? Et puis rien. Nous ne vous avons pas tenu au courant de la vie instagramée de Jade Lagardère, celle qu’elle expose à tous sur le réseau social. Vous n’avez pas su que, sitôt le précédent article publié, Jade Lagardère était à Disneyland, posant avec ses enfants et Dingo (ou bien était-ce plutôt Pluto ?) et, juste après, au concert d’Enrique Iglesias à Paris. Qu’un mois plus tard, l’épouse du richissime capitaine d’industrie
Mais n’allons pas trop vite et commençons par arrêter de battre notre coulpe, l’avenir, …, la trahison des promesses et nanani-nanana. Parce qu’en fait, la vie des Lagardère, pendant de longs mois, n’a fait que suivre son cours chamarré entraînant des réactions oscillant, pour qui la suit de près (oui, car nous sommes des professionnels), entre gêne, hypnose et irrépressible hilarité. Jade sautant de Disneyland aux Maldives où elle fait de la réclame pour des maillots de bain dont vous n’affubleriez pas votre pire ennemi, Jade posant avec ses enfants dont la moindre nippe est mentionnée avec un lien vers le compte Instagram de la marque en question. Et puis, bien sûr, toute la smala Foret, du nom de jeune fille de Jade, est toujours aussi présente sur Instagram qu’elle semble l’être dans l’entourage d’