Après des plaintes de saisonnières, les salariés du monument ont suivi une formation, tendue, sur les violences sexuelles.
Son rôle dans la série.
Directrice générale de l’AVFT, elle est le visage de l’association. D’abord bénévole chargée de la communication et de la création du site internet, elle a ensuite été recrutée pour s’occuper du plaidoyer et des relations avec les institutions. Puis elle a fini par récupérer les dossiers d’une collègue qui s’en allait. « Je n’avais pas de formation en droit au départ, j’étais la première recrue sur le pari de la présidente de l’époque, Catherine Le Magueresse, qui avait beaucoup de mal à trouver des juristes avec un profil adapté au travail dans une association militante. » L’idée est simple : recruter des membres provenant d’autres horizons, pour prouver que tout le monde peut « prendre le droit ». Pari réussi, si l’on en croit les quinze années déjà passées par Marilyn Baldeck au sein de l’association.
Par Cécile Andrzejewski
Après des plaintes de saisonnières, les salariés du monument ont suivi une formation, tendue, sur les violences sexuelles.
Sarah, Lisa, Inès… « Les Jours » enquêtent sur le harcèlement au sein de l’entreprise et les graves manquements de la Régie.
Agressée sexuellement par un collègue, Inès, conductrice de bus, dénonce l’abandon de la Régie, qui l’a licenciée pour « faute grave ».