Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de noms juifs ont été francisés. Deux générations plus tard, des centaines de descendants se sont mis en quête de leurs origines, pour comprendre les récits dissimulés derrière ces noms créés de toutes pièces, qui ne faisaient que masquer l’horreur de la Shoah.
Damien Landesmann découvre à la mort de son grand-père que le récit familial qui lui attribuait des racines corses n’était pas vrai. Adélie Pojzman-Pontay, elle, a changé de nom deux fois dans sa vie, un long parcours le temps de réunir en un seul nom des identités multiples.