La brigade des stups quitte le quai des Orfèvres ; l’immersion du reporter s’achève. Le trafic de drogue, lui, est toujours là.
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Née en 1989, Clara Dealberto est graphiste et infographiste free-lance. Passionnée de musique et de littérature, après une hypokhâgne et une khâgne, elle entre aux Beaux-Arts de Rennes dont elle sort diplômée en 2015. Depuis, elle travaille surtout avec la presse, notamment Le Monde et Libération.
La brigade des stups quitte le quai des Orfèvres ; l’immersion du reporter s’achève. Le trafic de drogue, lui, est toujours là.
En garde à vue, le dealer nie en bloc. Sans savoir que, dans la pièce d’à côté, quelqu’un est en train de le balancer.
Après cinq mois d’enquête, c’est le grand jour : les policiers de la brigade des stups vont arrêter Omar le dealer.
Les enquêteurs de la brigade des stups suivent à la trace le dealer. Mais la filature ne se passe pas comme prévu…
Entre deux surveillances de dealers, les enquêteurs des stups embarquent le reporter au stand de tir.
Lors d’une soirée, le reporter en lâche un peu trop sur l’enquête de la brigade des stups, où il est en immersion.
Incognito, les enquêteurs passent la soirée dans un café pour surveiller Omar, le dealer, et identifier Gencive, son boss.
À coups de planques et filatures, le groupe Surdoses remonte la piste d’une grande famille de trafiquants de Seine-Saint-Denis.
Rencontre avec le professeur Bruno Mégarbane, médecin spécialiste en bad trips et expériences psychotropes mal dosées.
Les overdoses sont des homicides involontaires. À chaque décès, son enquête. À Paris, c’est le groupe Surdoses qui s’y colle.
Chrono. Dimanche, les Turcs voteront, ou pas, les pleins pouvoirs au Président. Comment en est-on arrivé là ?
En Syrie, dans la brigade de novices d’Omar Omsen, Quentin n’a pas supporté d’être confronté à la guerre, la vraie (2/2).
Comme beaucoup d’autres jeunes de Nice, il a été endoctriné par un certain Omar. Comme beaucoup, il l’a suivi en Syrie (1/2).
Devenu militaire pour apprendre à manier les armes, Younes est ensuite parti faire le jihad, comme une dizaine d’ex-soldats français.
Par peur de mourir, Kevin a déserté l’État islamique avec femmes et enfants. Transféré en France vendredi, il a été écroué.