Info « Les Jours ». Le géant français a mené un test de reconnaissance faciale inédit lors de l’édition 2020, notamment sur des arbitres.
Journaliste indépendant, je m’intéresse depuis deux ans à l’impact des nouvelles technologies sur notre quotidien. Après avoir écrit sur la justice numérique ou les écrans à l’école, j’enquête depuis plusieurs mois avec Clément Le Foll sur la surveillance et les libertés numériques. Ensemble, nous écrivons pour Les Jours sur la surveillance dans notre société post-Covid. Je collabore par ailleurs avec Grazia, GQ, Mediapart ou encore le quotidien suisse Le Courrier.
Info « Les Jours ». Le géant français a mené un test de reconnaissance faciale inédit lors de l’édition 2020, notamment sur des arbitres.
Pour vendre ses systèmes de surveillance aux confins de l’UE, le géant use de son influence. Indirectement, discrètement, efficacement.
De Calais à Algésiras, l’entreprise met ses technologies au service de la politique antimigratoire de l’Europe, contre de juteux contrats.
Pandémie, loi « sécurité globale », JO de 2024… Pour devenir un leader de la reconnaissance faciale, toutes les occasions sont bonnes.
Thales, sa « Safe City », ses dangers… Entretien avec Myrtille Picaud et Florent Castagnino, chercheurs spécialistes de la surveillance.
Avant Nice, Thales a expérimenté sa « Safe City » au Mexique : des résultats contestés, des libertés piétinées, un gouffre financier.
Omniprésent mais toujours dans l’ombre, le PDG Patrice Caine est l’artisan du tout-sécuritaire vendu par l’entreprise.
La ville de Christian Estrosi est le terrain de jeu de Thales en matière de surveillance, qui veut en faire sa première « Safe City ».