Vous pensez que votre année 2020 n’a pas été terrible ? Consolez-vous en pensant à celle d’Agnès Buzyn. Le 1er janvier, l’ancienne médecin était ministre des Solidarités et de la Santé, on parlait d’elle pour remplacer Édouard Philippe à Matignon et elle était courtisée par les adhérents de La République en marche (LREM) pour venir épauler Benjamin Griveaux, dont la campagne municipale parisienne patinait. Douze mois plus tard
Difficile en fait de savoir ce que devient l’ex-ministre. Depuis le soir du second tour de l’élection municipale parisienne, elle n’a fait que deux apparitions publiques pour répondre aux commissions d’enquête parlementaires sur le Covid-19 et n’a accordé aucun entretien à des journalistes (elle n’a pas non plus répondu aux questions des Jours). Cette quête d’une nouvelle profession est la seule chose qu’on sait de l’intéressée. « Elle aurait plusieurs possibilités, dont une à l’étranger apparemment. Mais rien n’est fait », indiquait le 13 décembre Le Parisien, citant un « confident » de l’ex-candidate.