En 2016, un cadavre non identifié est découvert dans le Jura. Les gendarmes vont partir du crâne pour établir un portrait-robot génétique.
Son rôle dans la série.
Titulaire de deux masters, un de biochimie, un autre en génétique humaine, cet homme placide de 35 ans a intégré l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) après ses études, en 2013. Devenu le 1er août 2020 chef du département analyses, génétique et traces, il en a rapidement gravi les échelons. Son laboratoire est l’un des quatre en France – deux privés et deux publics – possédant les outils pointus nécessaires à l’établissement d’un portrait-robot génétique. « Nous, ce qu’on fait, ce sont surtout des disparitions », lâche-t-il en fin d’entretien, comme pour relativiser son rôle dans les enquêtes criminelles.