
Depuis trente-sept ans, la famille de Grégory Villemin mise sur les progrès de la forensique pour tenter d’obtenir des réponses.
Son rôle dans la série.
Le Fichier national des empreintes génétiques (Fnaeg) a été créé dans la foulée de l’affaire Guy Georges, « le tueur de l’Est parisien », par la loi du 17 juin 1998. Initialement destiné à centraliser les profils génétiques des criminels sexuels déjà condamnés, son champ d’application a été progressivement élargi. Y figurent désormais les caractéristiques ADN de délinquants condamnés mais aussi les personnes mises en cause au cours d’une enquête, ainsi que des traces non identifiées relevées sur des scènes d’infraction. En 2018, ce fichier abritait 2,9 millions de profils génétiques et 480 000 traces non-identifiées. À titre de comparaison, en 2018 toujours, 6,2 millions d’individus étaient recensés dans le Fichier automatisé des empreintes digitales (FAED).
Depuis trente-sept ans, la famille de Grégory Villemin mise sur les progrès de la forensique pour tenter d’obtenir des réponses.
En 2016, un cadavre non identifié est découvert dans le Jura. Les gendarmes vont partir du crâne pour établir un portrait-robot génétique.
Les diatomées sont des auxiliaires de justice : retrouvées dans les organes d’un cadavre, ces plantes permettent d’attester une noyade.