Août 2018, Finistère, un homme est tué par arme à feu. Les experts en balistique de la gendarmerie arrivent sur la scène du crime.
Son rôle dans la série.
Lorsqu’il arrive au département balistique de l’IRCGN en 2013, ses quelques connaissances dans ce domaine datent, selon ses propres dires, de ses années à l’école spéciale militaire de Saint-Cyr. Il suit alors la formation élaborée en interne qu’il définit comme une « une sorte de compagnonnage » : « Nous sommes toujours un binôme sur les scènes de crime : un senior et un jeune qui est en apprentissage. » Il devient le chef du département en 2016. Grand, costaud, d’un calme souverain, le trentenaire a auparavant enquêté sur des homicides pendant trois ans au sein de la section de recherche de Strasbourg. Il prépare actuellement, en parallèle de son travail à l’IRCGN, une thèse en mathématiques appliquées à la Sorbonne.