« Les Jours » s’installent dans le labo de la gendarmerie, pour raconter de l’intérieur comment la science aide à résoudre les meurtres.
Son rôle dans la série.
Après avoir été formé six mois à l’école de gendarmerie du Mans, Jean-Michel Erceau intègre successivement plusieurs brigades territoriales et régionales, puis les sections de recherche d’Ajaccio, d’Angers et Nantes. Il obtient en 2010 son diplôme de Cocrim (coordinateur d’opération de criminalistique), et c’est en cette qualité qu’il intervient, en 2011, sur l’affaire Laëtitia Perrais. Il oriente les techniciens en identification criminelle sur les quatre scènes de crime, conseille le directeur d’enquête dans ses investigations et oriente le directeur des opérations dans la mobilisation des moyens à mettre en œuvre pour procéder aux différentes recherches. Il rejoint le Service central de renseignement criminel de la gendarmerie nationale (SCRCGN) en août 2019, où il s’occupe des dossiers « cold case », en lien étroit avec les experts de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) et les enquêteurs.