Un samedi, des militants parisiens racontent comment et pourquoi ils ont emboîté le pas à Macron. Et préparent la suite.
Son rôle dans la série.
Il a l’impression qu’ici, dans le mouvement En marche, « on rebat les cartes ». Il a fondé une start-up avec Simon, son ami de lycée, a été développeur salarié et en free-lance. Il a adhéré à En marche à la fin de l’année 2016. Avant cela, il y a quatre ans, il avait tenté le MJS (Mouvement des jeunes socialistes). Il n’y a vu que des « apparatchiks qui, à 20 ans, ressemblent déjà à des professionnels de la politique et des tractations ». Au QG de Macron, il a retrouvé ce qu’il connaît des start-up : « De l’approximation parfois, mais du renouvellement. On sent le mouvement en train de se construire. » Il a l’impression de « contribuer à l’évolution de la politique ». Va-t-il s’accrocher ?
Par Charlotte Rotman