Dans le Puy-de-Dôme, la marque d’eau, propriété de Danone, est accusée de vider les ruisseaux et de tarir les sources. La justice est saisie.
Son rôle dans la série.
Prévisions, études des phénomènes météo, relevé des précipitations… ou de leur absence : l’établissement public créé en 1993 – et héritier du Bureau central de météorologie né en 1878 – est au cœur des préoccupations des usagers de l’eau (agriculteurs, industriels, particuliers…). Ses experts sont aux premières loges pour documenter canicules et sécheresses (estivales comme hivernales), mais ils sont de moins en nombreux : 2 500 équivalents temps plein en 2022, contre 3 400 en 2012. Fort dommageable quand le dernier contrat d’objectif et de performance de Météo-France indique comme second « axe stratégique » : « Être l’acteur national de référence en matière de fourniture de données et services climatiques en appui aux démarches d’adaptation au changement climatique. »
Dans le Puy-de-Dôme, la marque d’eau, propriété de Danone, est accusée de vider les ruisseaux et de tarir les sources. La justice est saisie.