Une fois le filon sécurisé et les creuseurs embauchés, les « fiévreux » se jettent à chaque fois sur ces appareils. Jusqu’à la rupture de stock.
Son rôle dans la série.
Ancien agriculteur du sud de la Mauritanie, la trentaine, il a déjà plusieurs d’années au compteur dans la grande roulette de l’or. Il s’est lancé quand on a commencé à déterrer des pépites du sous-sol du pays. D’abord petite main des puits d’orpaillage, creuseur du fond dans la poussière, Mohamed Salem est devenu au fil des ans autoentrepreneur. Propriétaire de puits en devenir, il est la preuve qu’attendent les aspirants « fiévreux » qu’une ascension sociale est possible dans le monde de l’or. Croisé à Tamaya en train de chercher le bon emplacement pour son puits, il écrit aux auteurs de la série épisodiquement via Whatsapp depuis. Dernier message en date, mi-juillet : il était encore sur le site « Graviers », à Tamaya, avec ses deux puits. Pas encore trouvé d’or de façon conséquente.
Par Amaury Hauchard
Une fois le filon sécurisé et les creuseurs embauchés, les « fiévreux » se jettent à chaque fois sur ces appareils. Jusqu’à la rupture de stock.