Une blessure par balle et un genou écorché ne maculent pas de la même façon une scène de crime. Les morphoanalystes font le tri.
Son rôle dans la série.
Gendarme issu du terrain, ayant passé dix ans dans une brigade de recherche de l’Oise, le major Philippe Cloux a rejoint le département anthropologie hématomorphologie de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) le 1er janvier 2007, date à laquelle il a commencé à se former à la morphoanalyse des traces de sang. Une formation d’une durée d’environ deux ans effectuée sur la base de modules développés par l’International Association of Bloodstain Pattern Analysts (IABPA), association américaine qui fait référence en la matière. Fan de rugby, « un vrai sport d’hommes », Philippe Cloux est un fervent supporter du club de La Rochelle, dont il a affiché le blason sur le fond d’écran de son téléphone portable.