Son éleveur attend un signe des parlementaires avant de la tuer à la ferme. Mais la proposition de loi sur les abattoirs piétine.
Son rôle dans la série.
Cet éleveur de Dordogne refuse depuis plusieurs années de porter ses animaux à l’abattoir, afin de réduire leurs souffrance. Il pratique l’abattage à la ferme et milite pour que des abattoirs mobiles se déplacent chez les petits éleveurs. Il a témoigné devant les députés dans le cadre de la commission d’enquête sur les conditions d’abattage des animaux de boucherie dans les abattoirs français. Il craint les gendarmes et attend un signe des parlementaires avant de faire venir le « tueur » dans sa ferme.
Par Thibaut Schepman
Son éleveur attend un signe des parlementaires avant de la tuer à la ferme. Mais la proposition de loi sur les abattoirs piétine.
Parce qu’ils les aiment, certains éleveurs tuent leurs bêtes à la ferme. Au fusil. Une pratique illégale, pour le moment.
Caméras à gogo et abattage rituel à faire évoluer piano piano : la commission d’enquête a rendu ses conclusions.