Si les noms « français » ne correspondent à aucune réalité linguistique, les noms de famille à « consonance étrangère » ont souvent attiré la méfiance et les remarques xénophobes. Puisque le nom de famille demeure un outil de discrimination, certains décident de le franciser. Une démarche simple, pour se libérer d’un racisme pesant. Pour d’autres, revenir au nom de leurs ancêtres peut incarner un mouvement d’émancipation. Clara Le Guyader porte le nom
« Changer de nom est pour moi un geste décolonial »
Podcast. Alain a dû franciser son patronyme. Clara, elle, se cherche un prénom cambodgien… Les « noms à coucher dehors », c’est de la politique.
Son
Pauline Paillassa
Illustration
Jérémie Luciani
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19:45