
Il y a un an, Mahsa Jina Amini était tuée par le régime des mollahs. Une Téhéranaise exilée en France l’assure : la résistance est quotidienne.
Il y a un an, Mahsa Jina Amini était tuée par le régime des mollahs. Une Téhéranaise exilée en France l’assure : la résistance est quotidienne.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, deux gifles à sa femme.
Alors qu’une Américaine est tuée toutes les cinq heures par son compagnon ou ex, les féminicides ne sont un sujet ni médiatique, ni politique.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le ferrailleur et les Portugais.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, des pavés sur la police.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la violence du proxénète.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’arcade et le « sale étranger ».
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Affligeant jusque-là, le traitement médiatique des violences conjugales a timidement évolué après le crime, il y a tout juste vingt ans.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, stop aux débordements.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Une centaine d’enfants par an perdent leur mère après un féminicide. Pourtant, le protocole de suivi psychosocial n’est toujours pas généralisé.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Déni, sexisme, sentiment de déclassement : « Les Jours » ont assisté à un stage de responsabilisation pour auteurs de violences conjugales.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, le gouvernement se soumet à notre grand jeu de culture générale…
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Cette proportion met en lumière les défaillances de la police dans les cas de violences conjugales. Les progrès, réels, sont insuffisants.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Hocine Hamoudi a écopé de trente ans de prison pour avoir tué sa compagne en 2015. Son ultraviolence était pourtant connue.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Info « Les Jours ». La famille de cette jeune femme assassinée par son ex en 2021 assigne l’État en responsabilité pour fautes lourdes.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Depuis des semaines, « Mahsa » nous raconte la révolte de l’intérieur ; cette fois, elle le fait depuis la France : elle a quitté l’Iran.
Les mollahs multiplient les menaces contre les femmes non voilées… qui redoublent de résistance. Un instantané de révolte signé « Mahsa ».
En 2023, « Les Jours » enquêtent sur les féminicides et recensent, chaque mois, ces meurtres sexistes.
Tous les trois jours, un détenu se suicide. Familles et avocats dénoncent une omerta et le manque de vigilance de la pénitentiaire.
Dans son deuxième message en direct de la révolte iranienne, « Mahsa » dépeint les manifestations surprises et la répression.
Depuis septembre, les Iraniens combattent le pouvoir droit dans les yeux. Une Téhéranaise raconte aux « Jours » la rue, la peur et l’espoir.
À la tête d’une fédération à la dérive, le président Le Graët pourrait survivre à ses turpitudes grâce aux résultats des Bleus au Qatar.
Les plaintes déposées par des détenus contre des gardiens de l’établissement s’accumulent. « Les Jours » en dévoilent deux nouvelles.
Info « Les Jours ». Yossef, 67 ans, accuse un surveillant de harcèlement à répétition. Alertée, la direction de la prison n’a rien fait.
L’ONG contrarie le foot business et la FFF : elle demande 420 millions pour les morts du Mondial de tous les scandales.
Éclipsée par d’autres violences, la faim mine les détenus, entre manque de nourriture, cantinage trop cher et plats infects.
Mal payés, en sous-effectif dans des prisons surpeuplées : face à la crise des vocations, on recrute des surveillants parfois illettrés.
La maison d’arrêt a refusé à une députée l’accès aux cellules occupées, en toute illégalité. « Les Jours » y étaient. Surréaliste.
En prison, l’accès aux soins est sans cesse empêché. Par un manque criant de soignants comme d’égards de l’administration.
Peur des représailles, récolte de preuves compliquée : les coups et injures des gardiens sur détenus sont fréquents mais rarement sanctionnés.
Des enquêtes accablantes forcent les directions à améliorer la prévention et le repérage, jusqu’ici à la charge des étudiantes. Suffisant ?
Couche après couche, « Les Jours » dissèquent l’horreur carcérale. Premier arrêt : Toulouse-Seysses, ses blessés et ses cafards.
Depuis les révélations de la témoin-clé Cassidy Hutchinson, des émeutiers et des proches de l’ex-Président ont été auditionnés. Un tournant.
Contrairement au Watergate, le travail de la commission parlementaire ne suffira peut-être pas à sanctionner l’ex-Président.
Entre lobbying de la NRA, blocage au Sénat et mauvaise foi conservatrice, la tuerie risque de ne rien changer au problème des armes à feu.
En 2016, Rudy, 15 ans, est assassiné dans un règlement de compte sur fond de trafic de drogue à Marseille. « Les Jours » étaient au procès.
Le 25 juin, un « lieutenant » de la drogue est tué, déclenchant une vague d’assassinats. Généalogie d’un règlement de compte.
Chaque jour, les « charbonneurs », petites mains du trafic de drogue, défilent au tribunal correctionnel de Marseille. Reportage.
Dans les cités, les forces de l’ordre tentent d’endiguer le trafic à coups d’interpellations à la pelle et de « pilonnage » de dealers.
Dans le Paris des années 1980, les bandes abandonnent la baston rigolarde pour l’ultraviolence. Les gangs racistes gagnent du terrain.
Ados, ils font le guet pour les dealers. Et, tel Rayanne, finissent exécutés dans les règlements de comptes entre clans marseillais.
Une flambée de violence dans les quartiers nord et Macron déboule. « Les Jours », eux, remontent la chaîne des stups.
Au début des années 1960, la France gaulliste voit une partie de sa jeunesse lui échapper, et des bandes se former au son du rock’n’roll.
Au XXe siècle, des jeunes, qualifiés d’« Apaches », déferlent sur Paris. La presse bourgeoise tremble.
Y a-t-il vraiment de plus en plus de gamins de moins en moins âgés et de plus en plus violents ? « Les Jours » castagnent les clichés.
Face au sexisme en entreprise, les salariées utilisent de nouveaux moyens pour mobiliser contre l’inaction des hiérarchies.
La CFTC, qui a ses locaux au siège de la Une, l’a accueilli pendant des mois après son licenciement. Manifestation lundi devant la chaîne.
Condamné en première instance pour harcèlement sexuel, Kamel A. a fait annuler son licenciement et peut réintégrer la radio : indignation.
Jugé pour agressions sexuelles sur une cliente, l’ancien avocat a argué de pulsions irrépressibles. Elle, bouleversée, n’a pu parler.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie sous coronavirus. Nathalie, écoutante au 3919, « Violences femmes info ».
Pour les cheminots, la souffrance au travail est parfois telle qu’elle tue. Un « syndrome France Télécom » que nie la direction. Enquête.
Kamel A. était représentant du personnel dans la station du groupe Lagardère. Il était jugé pour harcèlement sexuel et moral.
Médiatrice et aide-soignante aux urgences de Saint-Denis, elle guette les regards qui n’osent pas et les conflits à apaiser.
Aux urgences de l’hôpital Delafontaine, la nuit est plus longue, plus incertaine que le jour. Plus violente aussi parfois.
À l’hôpital Delafontaine de Saint-Denis, la grève n’empêche ni le travail des équipes ni l’afflux des patients. L’immersion commence.
Des inspectrices du travail déplorent le manque de temps et de formation à leur disposition pour traiter les cas de harcèlement sexuel.
Au sein du service chargé d’appliquer la politique antisexiste de Marlène Schiappa, une dizaine de femmes sont victimes de sexisme.
Après des plaintes de saisonnières, les salariés du monument ont suivi une formation, tendue, sur les violences sexuelles.
Sarah, Lisa, Inès… « Les Jours » enquêtent sur le harcèlement au sein de l’entreprise et les graves manquements de la Régie.
Agressée sexuellement par un collègue, Inès, conductrice de bus, dénonce l’abandon de la Régie, qui l’a licenciée pour « faute grave ».
Anne accuse son ex-patron de viol. Si elle n’attend plus rien après quinze ans de procédures, ses avocates veulent obtenir justice.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un film nord-irlandais.