Un Français qui jette l’éponge, une usine allemande qui ferme : les temps sont durs pour le photovoltaïque européen… qui s’exporte aux États-Unis.
Un Français qui jette l’éponge, une usine allemande qui ferme : les temps sont durs pour le photovoltaïque européen… qui s’exporte aux États-Unis.
Concurrence chinoise, manque d’investisseurs… Les projets d’usines de panneaux photovoltaïques Holosolis et Carbon sont-ils déjà en péril ?
Les dessous du pionnier (2/2). Sauvé pour de faux par Sarkozy et EDF, le fleuron français du photovoltaïque agonise, dans l’indifférence macroniste.
Les dessous du pionnier (1/2). Né en 1979, le fleuron français des panneaux photovoltaïques avait la technologie et les capitaux. Ça n’a pas suffi.
Inaugurée en 1983, la centrale Thémis devait faire de la France la championne de l’énergie solaire. Un projet ambitieux sacrifié trois ans plus tard.
En 1970, le four solaire d’Odeillo qu’installe Félix Trombe dans les Pyrénées est une réussite technologique. Las, c’est un échec commercial.
L’Algérie a été à l’avant-garde du photovoltaïque. Mais la guerre ainsi que les gisements de pétrole et de gaz ont éclipsé cette manne naturelle.
En 1861, un enseignant invente une pompe solaire… qui aurait pu faire de la France une pionnière de cette énergie pas si nouvelle. Raté.
Macron n’a pas trop de mots doux pour le photovoltaïque. Mais comme du temps de ses prédécesseurs, les actes manquent.
Malgré ses succès commerciaux, la filiale solaire est restée le parent pauvre du groupe pétrolier, avant d’être tout simplement sacrifiée.