À la traîne au plan international, le pôle « cold cases » vient de diffuser une vidéo pour identifier un violeur en série. Une première encore bancale.
À la traîne au plan international, le pôle « cold cases » vient de diffuser une vidéo pour identifier un violeur en série. Une première encore bancale.
Les succès d’élucidation du pôle de Nanterre, créé il y a deux ans, révèlent les défaillances du passé. Et le manque de moyens d’aujourd’hui.
Une année de scoops et d’enquêtes grâce à vous et les prévisions de l’équipe pour 2024 : c’est la 50e édition des « Dessous des “Jours” ».
Au terme d’un procès qui a mis en lumière sa responsabilité dans les crimes de son ex-mari, elle a écopé de la perpétuité, avec vingt ans de sûreté.
Les policiers ont tout fait pour défendre leur enquête bâclée, finalement résolue par la gendarmerie. Jusqu’à tenter d’innocenter le tueur.
Point-clé du procès, les 35 meurtres que Fourniret aurait pu commettre, au lieu des 11 connus. « Peut-être vrai ou pas vrai », dit la complice.
Jugée pour la troisième fois pour trois des meurtres commis avec Michel Fourniret, Monique Olivier s’est présentée en femme soumise et apeurée.
Les ratés judiciaires sur le parcours criminel du couple seront au cœur du procès de Monique Olivier, le premier du pôle « cold cases », mardi.
Le nouveau pôle de Nanterre dédié aux « cold cases » a détaillé les premières affaires qui vont être réexaminées. Elles datent de 1987.