Détenus en Syrie, 200 à 300 enfants attendent un rapatriement vers la France qui suscite l’hostilité. Pourtant, la réinsertion fonctionne.
Né en 1984, Charles Monnier développe très tôt un intérêt pour les arts visuels. À l’adolescence, il intègre un atelier de peinture puis s’oriente vers les arts graphiques. Il aime explorer de multiple médiums d’expression : peinture, photographie, crayons, vidéo, sérigraphie, outils numériques, écriture. Se considérant comme un artisan de l’image, il adapte sa création aux diverses demandes, variant les tons, les formes et les matières. Il met en œuvre son savoir-faire en édition jeunesse et pédagogique, en illustration de presse, réalise des story-boards promotionnels, des identités graphiques et anime des ateliers en milieu scolaire.
Détenus en Syrie, 200 à 300 enfants attendent un rapatriement vers la France qui suscite l’hostilité. Pourtant, la réinsertion fonctionne.
Depuis 2015, la justice s’est durcie au point de prendre des décisions arbitraires envers ceux qu’elle considère comme des « velléitaires ».
Opération Serval, opération Barkhane… Depuis 2013, Paris a fait le choix de poursuivre une guerre mouvante et sans issue. Un piège.
La radicalisation de Français issus de la classe moyenne blanche déroute les spécialistes et la justice antiterroriste.
Condamné fin 2020, ce chômeur était un cadre de l’organisation… depuis son canapé. « Les Jours » enquêtent sur les nouveaux jihads.
En 2016, il avait tué son ex-compagne devant leur enfant ; il a écopé de la perpétuité. Sa hiérarchie aurait pu réagir bien avant.