Les députés ont 45 heures chrono pour torpiller ou rehausser les ambitions d’un texte qui doit répondre à l’urgence planétaire.
Constance Decorde travaille pendant six ans dans des organisations humanitaires. Elle se rend alors au Sri Lanka, au Tchad, au Pakistan et au Liberia. Après avoir suivi la formation de photojournalisme multimédia de l’EMI-CFD (Paris), elle se spécialise dans le reportage documentaire au long cours. Son intérêt pour les minorités et les populations déracinées la pousse à photographier les Rohingyas persécutés de l’Arakan (Birmanie), les civils déplacés de la région du Kivu (République démocratique du Congo), ou encore les descendants de Palestiniens chassés du village d’Iqrit (Israël).
Ce tropisme ne l’empêche pas de poser son regard sur la France et ses habitants. Elle part ainsi à la rencontre des jeunes ruraux qui innovent pour un projet, intitulé 2 000 et moins (pour les communes de moins de 2 000 habitants), qui donnera lieu à de nombreuses publications, notamment dans Le Parisien Week-End, Ebdo, Le Monde, Village ou La Croix.
Constance Decorde vit à Paris. Elle a intégré le studio Hans Lucas en 2015 et le collectif de journalistes Les Incorrigibles en 2016.
Les députés ont 45 heures chrono pour torpiller ou rehausser les ambitions d’un texte qui doit répondre à l’urgence planétaire.
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