Le seul survivant du commando de tueurs a donné pour la première fois sa version du soir du 13 Novembre, qui minimise son implication.
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Issu des Beaux-Arts de Paris, j’ai réellement commencé à « croquer » lors d’un voyage en Chine. Deux jours après mon arrivée, mon boitier adoré F4 ne fonctionnait plus. Ne pouvant le faire réparer ou en acheter un autre, j’ai dessiné. Photojournaliste depuis quinze ans, je suis indépendant depuis 2012 après avoir passé huit années au sein d’un hebdomadaire local en Seine-Saint-Denis. Aujourd’hui, je suis diffusé par Hans Lucas. Au gré des commandes pour la presse ou l’institutionnel, je navigue entre photographie et dessin. Je m’intéresse entre autres choses à l’univers judiciaire depuis 2014 après avoir suivi et dessiné les audiences du procès de Pascal Simbikangwa pour sa participation au génocide rwandais.
Le seul survivant du commando de tueurs a donné pour la première fois sa version du soir du 13 Novembre, qui minimise son implication.
Ajout de sirops, mélanges douteux, traçabilité incertaine : les circuits français du miel, opaques, sont butinés par la fraude.
Chaque samedi, un comédien lit un épisode des « Jours ». Cette semaine, des gardiens de la paix rattrapés par des images amateurs.
Jugement. Où la présidente explique pourquoi le tribunal relaxe presque tout le monde, et où l’affaire de Tarnac s’achève.
Jour 11. Où le procureur demande que tous les prévenus soient reconnus coupables… mais qu’aucun ne soit (r)envoyé en prison.
Interdits de travailler pour les plateformes de VTC depuis décembre, les chauffeurs non diplômés sont laissés à l’abandon.
Alexandre T., Jonathan D. et Matthieu F. n’imaginaient pas terminer à la barre. Des images amateurs en ont décidé autrement.
Philippe J., patron des BAC de Rennes, est jugé pour avoir frappé un homme lors de son interpellation puis menti sur les faits.
Sarah L., Arthur L. et Julien C. devaient attraper un gamin qui sillonnait en quad une cité, sans casque. Et puis tout a dérapé.
Julien J. et Julien R., policiers de la brigade des réseaux franciliens, sont jugés pour violences contre un vendeur de maïs.
La justice reproche au policier Jean-Hubert A. d’avoir pris à la légère un appel au 17. Une femme de 70 ans est morte.