Olga et Alexander habitaient la ville ukrainienne, aujourd’hui ravagée. Ils racontent le siège, les déplacements forcés en Russie, l’exil.
J’écris sur les droits de l’homme, les conflits et leurs conséquences sur la population. De l’Irak à la Syrie, je m’intéresse à l’État islamique (EI) et à ses effets sur notre société ainsi que sur les civils, qui en sont les premières victimes. Dès 2015, j’ai documenté les problématiques liées au groupe terroriste et à la gestion de l’État français de ses ressortissants partis faire le jihad. Après avoir été correspondant pour la télévision en Irak puis dans le nord-est syrien durant la guerre contre l’EI, je me suis orienté vers les enquêtes au long cours pour la presse écrite internationale (Newlines Magazine, Le Figaro, Jeune Afrique, Mediapart et Haaretz) et la télévision française dans cette région.
Olga et Alexander habitaient la ville ukrainienne, aujourd’hui ravagée. Ils racontent le siège, les déplacements forcés en Russie, l’exil.
En Ukraine, malgré les risques, des justiciers de l’ombre s’affairent à récolter témoignages et preuves des exactions des soldats russes.
À Boutcha et Borodianka, les survivants recherchent les corps de leurs proches et racontent l’horreur de l’occupation russe. Reportage.
Dans la ville, seuls sont restés les plus pauvres. Qui s’entraident malgré les Russes à leurs portes et les bombardements incessants.
Près d’Odessa, les agriculteurs cherchent à écouler les récoltes et résistent à leur manière : en continuant à produire du blé.
Même visés par les Russes, les habitants de la ville de l’Ouest de l’Ukraine continuent à remplir les rues. Et à se préparer au combat.
Dans l’Ouest de l’Ukraine, un bourg de 800 habitants se mobilise pour accueillir les déplacés de l’Est et affronter l’armée de Poutine.
Pour fuir la guerre, ils ont laissé leurs vies derrière eux. Reportage des deux côtés de la frontière polonaise.