Le corps de Patricia Wilson n’a jamais été retrouvé, Jean-Louis Cayrou n’a jamais avoué, mais ses empreintes digitales ont parlé.
Son rôle dans la série.
Voix douce, regard avenant, l’adjudant Christian Vincent-Cuaz, 44 ans, a passé dix années en brigade en Bretagne. Signe particulier : il aimait déjà particulièrement faire les relevés d’empreintes digitales. « Mes collègues faisaient d’ailleurs souvent appel à moi. » Pas un hasard si, depuis dix ans, il officie au sein du département du Fichier automatisé des empreintes digitales (FAED) du Service central de renseignement criminel du Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale. Ce « traceur », qui a également suivi une formation de technicien en identification criminelle de proximité, compare les traces envoyées par le terrain en France en ou en outre-mer avec celles du FAED. Un expert !