En 2005, près de vingt ans après la mort de Cécile Bloch, les enquêteurs lancent une opération de la dernière chance…
Son rôle dans la série.
Fils d’un policier et d’une mère au foyer, né en 1957 dans le XVIIe arrondissement de Paris, Christian Flaesch fut lycéen à Fénelon et étudiant en droit au Panthéon. Dès ses débuts, en 1983, le commissaire Flaesch exerce à la PJ de Paris, chef de section à la brigade criminelle, où il supervise notamment l’arrestation à Noël 1984 de « l’appât » Valérie Subra ayant piégé de riches messieurs trucidés par ses copains et l’enquête sur l’assassinat en mai 1986 de Cécile Bloch, 11 ans, par le Grêlé. Des collègues le surnomment « Fléchette » ou encore le « Loulou de Poméranie » en raison de sa brosse « soyeuse ». Après son infidélité au 36 avec le service de protection des hautes personnalités de 1996 à 2000, Flaesch revient dans son giron, chef de la PJ de Bobigny puis de la BRI, et sous-directeur des brigades centrales en 2005. Devenu patron du 36 en 2007, Christian Flaesch a chapeauté pendant six ans de nombreuses affaires, a organisé les 100 ans de la PJ, et l’a dirigée « d’une main de fer », selon ses hommes, jusqu’à la fin de l’année 2013. Il a été évincé à cause d’un coup de fil à Brice Hortefeux pour l’avertir de sa convocation dans un dossier où Nicolas Sarkozy était partie civile. Depuis, Christian Flaesch s’occupe de la sécurité du groupe Accor. Il a été mis en examen en octobre 2016 pour « entrave aux investigations » et « violation du secret de l’enquête », suspecté d’avoir fourni en mai 2013 à son ami Bernard Squarcini, alias le Squale, ex-patron du renseignement reconverti dans le privé, des tuyaux confidentiels sur un dossier financier en cours.
Par Patricia Tourancheau
Son rôle dans la série.
Fils d’un policier et d’une mère au foyer, né en 1957 dans le XVIIe arrondissement de Paris, Christian Flaesch fut lycéen à Fénelon et étudiant en droit au Panthéon. Dès ses débuts, en 1983, le commissaire Flaesch exerce à la PJ de Paris, chef de section à la brigade criminelle, où il supervise notamment l’arrestation à Noël 1984 de « l’appât » Valérie Subra ayant piégé de riches messieurs trucidés par ses copains et l’enquête sur l’assassinat en mai 1986 de Cécile Bloch, 11 ans, par le Grêlé. Des collègues le surnomment « Fléchette » ou encore le « Loulou de Poméranie » en raison de sa brosse « soyeuse ». Après son infidélité au 36 avec le service de protection des hautes personnalités de 1996 à 2000, Flaesch revient dans son giron, chef de la PJ de Bobigny puis de la BRI, et sous-directeur des brigades centrales en 2005. Devenu patron du 36 en 2007, Christian Flaesch a chapeauté pendant six ans de nombreuses affaires, a organisé les 100 ans de la PJ, et l’a dirigée « d’une main de fer », selon ses hommes, jusqu’à la fin de l’année 2013. Il a été évincé à cause d’un coup de fil à Brice Hortefeux pour l’avertir de sa convocation dans un dossier où Nicolas Sarkozy était partie civile. Depuis, Christian Flaesch s’occupe de la sécurité du groupe Accor. Il a été mis en examen en octobre 2016 pour « entrave aux investigations » et « violation du secret de l’enquête », suspecté d’avoir fourni en mai 2013 à son ami Bernard Squarcini, alias le Squale, ex-patron du renseignement reconverti dans le privé, des tuyaux confidentiels sur un dossier financier en cours.
Par Patricia Tourancheau
En 2005, près de vingt ans après la mort de Cécile Bloch, les enquêteurs lancent une opération de la dernière chance…
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Un ex-gendarme s’est suicidé ce mercredi. Son ADN a parlé : il était bien le Grêlé. Retrouvez nos douze épisodes sur ce « cold case ».
Bernard Squarcini mis en examen, Christian Flaesh en garde à vue… Les ex-grands flics de droite sont en mauvaise passe.
Grâce à ses indics, le commissaire Féval ramenait de belles affaires au 36. Mais l’un d’entre eux l’a conduit en cabane.