Les négociations entre partis de gauche en vue des législatives sont en cours. Surprise (non) : c’est un vaudeville.
Son rôle dans la série.
« L’envie d’avoir envie pour tous. » Jamais en mal d’une vanne un peu pourrie, le candidat communiste à la présidentielle a ainsi résumé la stratégie du PC en vue d’une union de la gauche. On a reconnu la chanson de Johnny Hallyday mais on n’a pas compris l’idée sinon que Fabien Roussel la veut, l’union : « Il n’y a pas qu’un plan A », a-t-il dit aux Jours. Il veut pouvoir composer un groupe parlementaire à l’Assemblée (ça veut dire quinze députés minimum ; ils sont onze aujourd’hui purement communistes) pour faire des propositions de loi.
[Mise à jour après les législatives] Si le PCF a rejoint la Nupes nouvellement créée, ce n’est pas grâce à Fabien Roussel qui s’en est soigneusement tenue à distance. Les communistes récoltent douze députés mais pourraient, à la faveur du ralliement de quelques autres élus, constituer un groupe à l’Assemblée (15 députés minimum).
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts
Son rôle dans la série.
À ne pas confondre avec… la boucherie Roussel, que tient Jean-Bénigne Roussel à Is-sur-Tille (Côte-d’Or), même si ce lauréat de la médaille de bronze du jambon persillé en 2012 partage avec le candidat communiste un goût prononcé pour la bidoche.
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts
Les négociations entre partis de gauche en vue des législatives sont en cours. Surprise (non) : c’est un vaudeville.
Pour que vous n’ayez pas à le faire, les Garriberts se sont coltiné les clips de campagne des candidats. Sortez le pop-corn.
Comme le protozoaire, il peut tout être, il peut tout faire : Président, tragédien, chef des armées et même, si, si, candidat.
Les boulettes de Pécresse, le trompe-l’œil de Le Pen… « Les Jours » aiguisent leurs couteaux et jugent les candidats en mode « Top chef ».