Pour la famille de Tiphaine Véron, la police japonaise n’a pas assez creusé la piste criminelle. Notamment celle de l’hôtelier.
Son rôle dans la série.
Le propriétaire de la pension familiale Turtle Inn à Nikko est la dernière personne à avoir vu Tiphaine Véron. Avec sa femme et sa fille, il s’occupe de recevoir touristes japonais et étrangers dans l’hôtel et son annexe haut de gamme, à quelques mètres de l’entrée du site touristique des Kanmangafuchi Abyss. Acteur de la vie locale, c’est un amateur d’alpinisme. Il s’implique en tant que sapeur-pompier volontaire et a participé aux recherches menées par la police de Tochigi pour retrouver Tiphaine Véron. Avec d’autres commerçants, il a fondé le Japanese Inn Group, un regroupement d’hôtels typiquement japonais. La couverture médiatique de la disparition de la Française au Japon et à l’international lui a valu d’être soupçonné de nombreuses fois. Depuis, il refuse de répondre aux questions des journalistes.
Par Caroline Gardin
Pour la famille de Tiphaine Véron, la police japonaise n’a pas assez creusé la piste criminelle. Notamment celle de l’hôtelier.
Pression diplomatique, piste de la téléphonie : la famille Véron remue ciel et terre pour pallier les manqués de la police japonaise.
Depuis les premières heures de la disparition de Tiphaine Véron, sa famille reproche aux enquêteurs de ne pas en faire assez.
De la gare à sa chambre d’hôtel, « Les Jours » ont retrouvé les dernières traces de Tiphaine Véron au Japon. Banales, ou presque.