« Le Monde », « Quotidien », « Mediapart »… Les militants sont chauffés à blanc contre la « bien-pensance ». Heureusement, il y a CNews.
Son rôle dans la série.
Proche de Sarah Knafo, il a fait ses armes dans la Manif pour tous, où il s’est forgé une petite notoriété à grands coups de tweets haineux. Puis, cet ancien de l’UMP s’est impliqué dans Jour de colère en 2014, sombre gloubi-boulga d’extrême droite qui a pris la forme d’une manifestation aux slogans racistes, négationnistes et antisémites. Et puisque Samuel Lafont adore le gloubi-boulga et les réseaux sociaux, devinez où il a atterri ? « Je connais internet, si je peux vous aider, je vous aiderai », écrit-il à Zemmour dès février 2021 – il l’a raconté à Étienne Girard dans Le radicalisé, enquête sur Éric Zemmour (Le Seuil, 2021). Depuis, entre autres, il joue aux frontières des règles de Twitter en postant tous les jours « Twittez #NimporteQuoiAvecZemmour, maintenant ! » Et la « grande armée » s’exécute… Grâce à lui, Zemmour figure quotidiennement dans les sujets les plus discutés de France sur le réseau social.
Par Pierre Bafoil
« Le Monde », « Quotidien », « Mediapart »… Les militants sont chauffés à blanc contre la « bien-pensance ». Heureusement, il y a CNews.
Orphelins du Maréchal et du RPR, juifs et antisémites, cathos bien nés et ouvriers déclassés… Notre reporter infiltré dissèque la Zemmourie.