L’attentat de Nice a bouleversé le calendrier de l’état d’urgence, dont une quatrième prolongation a été votée ce mercredi.
Son rôle dans la série.
Juge d’application des peines à Meaux (Seine-et-Marne), Laurence Blisson est secrétaire générale du Syndicat de la magistrature (SM, classé à gauche). Depuis 2014, cette magistrate de 31 ans fait partie des principaux opposants aux mesures sécuritaires adoptées par la majorité socialiste : la loi antiterroriste de Bernard Cazeneuve (novembre 2014), la loi renseignement concoctée par Jean-Jacques Urvoas (juillet 2015) et l’état d’urgence. Elle fait du nouveau projet de loi antiterroriste, discuté en mars 2016 au Parlement, sa prochaine bataille.
Par Charlotte Rotman
Son rôle dans la série.
Juge d’application des peines à Meaux (Seine-et-Marne), Laurence Blisson est secrétaire générale du Syndicat de la magistrature (SM, classé à gauche). Depuis 2014, cette magistrate de 31 ans fait partie des principaux opposants aux mesures sécuritaires adoptées par la majorité socialiste : la loi antiterroriste de Bernard Cazeneuve (novembre 2014), la loi renseignement concoctée par Jean-Jacques Urvoas (juillet 2015) et l’état d’urgence. Elle fait du nouveau projet de loi antiterroriste, discuté en mars 2016 au Parlement, sa prochaine bataille.
Par Charlotte Rotman
L’attentat de Nice a bouleversé le calendrier de l’état d’urgence, dont une quatrième prolongation a été votée ce mercredi.
La loi discutée à partir d’aujourd’hui accroît les pouvoirs du préfet et du procureur. Au nom de l’efficacité.