Dans son rapport sorti ce lundi, le Centre national de la musique admet que la fraude des plus gros échappe encore aux plateformes.
Son rôle dans la série.
Syndicat dissident du Snep créé en 1986 pour défendre les intérêts des maisons de disques indépendantes, l’UPFI est devenu le véhicule politique d’une poignée de grands labels : Because Music, Wagram, Pias et Tôt ou tard en particulier. Il a eu, de la Hadopi aux récentes négociations sur une garantie de rémunération minimale sur le streaming, une position suiviste derrière le Snep, le syndicat des majors, mais défend seul l’idée d’une transformation du modèle économique de la musique pour adopter le système dit « user centric », qui valoriserait les écoutes des auditeurs les plus curieux et favoriserait les œuvres des artistes indépendants.
Par Sophian Fanen
Son rôle dans la série.
Syndicat dissident du Snep créé en 1986 pour défendre les intérêts des maisons de disques indépendantes, l’UPFI est devenu le véhicule politique d’une poignée de grands labels : Because Music, Wagram, Pias et Tôt ou tard en particulier. Il a eu, de la Hadopi aux récentes négociations sur une garantie de rémunération minimale sur le streaming, une position suiviste derrière le Snep, le syndicat des majors.
Par Sophian Fanen
Dans son rapport sorti ce lundi, le Centre national de la musique admet que la fraude des plus gros échappe encore aux plateformes.
Bling-stream (7/7). Dans le système actuel, l’argent des plateformes va aux plus écoutés. Donc au rap, aux dépens de la diversité.