Des journalistes politiques sortent une info, le Président, fumasse, leur passe un savon : même affaibli, il veut, plus que jamais, mater les médias.
Des journalistes politiques sortent une info, le Président, fumasse, leur passe un savon : même affaibli, il veut, plus que jamais, mater les médias.
Un an de guerres. Asma Abu Syam était professeure de français à Gaza City. Aux « Jours », elle raconte son quotidien fait de mort et de destruction.
Après l’attaque aux bipeurs, l’État hébreu a bombardé des sites du Hezbollah, qui riposte avec des tirs de roquettes. Le Moyen-Orient s’embrase.
La mort de six otages a attisé la colère des Israéliens envers Netanyahou, tandis que l’armée menait une offensive sanglante en Cisjordanie.
Le 7 Octobre, le fils de cette Israélo-Américaine a été enlevé par le Hamas. Depuis, elle se bat pour lui et tous les otages. Et pour tous les civils.
La frappe israélienne sur le camp de Baraksat à Rafah a fait 45 morts et suscité une vague de condamnations. Mais l’État hébreu poursuit sa guerre.
Pris entre Washington et l’extrême droite, le Premier ministre israélien fait le choix d’une réplique mesurée contre l’Iran. Et se tourne vers Rafah.
Premières victimes de l’armée israélienne, les enfants gazaouis vivent l’horreur entre traumatismes, malnutrition et risques de maladies.
Cent jours de guerre (1/2). Asma Abu Syam, 42 ans, professeure de français à Gaza City, raconte les jours et les nuits depuis le 7 octobre.
Les cent vies de Bibi. Sûr de son destin, de sa force, de sa rectitude morale… Israël a-t-il été aveuglé par son invincible Premier ministre ?
Les cent vies de Bibi. Entré en politique après un drame familial, le Premier ministre israélien se voit en leader quasi messianique du sionisme.
48 jours après, les premiers otages israéliens ont été relâchés et les Gazaouis vont avoir un peu de répit. Mais la donne du conflit n’a pas changé.
Les cent vies de Bibi. L’indétrônable Premier ministre israélien a perdu le peu de crédit politique qu’il lui restait. Et c’est de sa faute.
Après son soutien sans faille à Israël, le président américain demande désormais une « pause » humanitaire. Pour ne pas fâcher son électorat.
L’opération terrestre israélienne à Gaza a commencé ce vendredi soir. Les habitants, eux, s’enfoncent un peu plus dans l’horreur et le chaos.
La maigre aide humanitaire ne change rien au sort des Gazaouis. Malgré l’intervention américaine, les frappes israéliennes s’intensifient.