Que sont devenues les vieilles start-up françaises ? « Les Jours » remontent le temps jusqu’en 2011, autant dire le Moyen Âge.
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Célébrée par le milieu, la start-up de livraison de repas a coulé à l’été 2016. Un fiasco exemplaire et socialement désastreux.
Pour un start-uppeur, la recherche d’argent frais est une partie de poker, pleine de coups de bluff et de coups fourrés.
Le monde des start-up et de la tech n’échappe pas au sexisme que les femmes rencontrent dans les autres milieux. Enquête.
À la tête d’un fonds de 160 millions d’euros, Jean-David Chamboredon est un incontournable de la « start-up nation ».
Crypto lunchs et afterworks à base de bitcoins et « League of Legends » : cette start-up de jeux vidéo vient de lever 2,5 millions.
Monter sa boîte est devenu un idéal de réussite dans les grandes écoles, qui cajolent la future aristocratie entrepreneuriale.
Le business de cette start-up : louer des vêtements. Son fondateur, pas spécialiste de la mode, a « senti une opportunité ».