Podcast (7/7). Que sont devenus celles et ceux qui ont déserté les métiers polluants ? Quel est leur regard sur les refuseurs d’aujourd’hui ?
Je crée des illustrations éditoriales pour les médias, la com et l’édition. Né en Provence en 1983, ingénieur touche-à-tout, j’ai travaillé une douzaine d’années dans le numérique côté produit, d’abord au Monde puis à France TV, où j’ai pu explorer le service public à tous les étages, des sites d’actu régionaux à celui de FranceTVsport en passant par l’offre numérique de France Info. J’ai basculé dans l’illustration en 2021 pour assouvir mes envies de créativité, et je n’en reviens toujours pas. Je collabore depuis avec de nombreux clients tels que Les Jours, France Info, Contexte, Chut !, L’Éléphant, Bergamote, Alternatives économiques, Oblik, et d’autres.
Podcast (7/7). Que sont devenus celles et ceux qui ont déserté les métiers polluants ? Quel est leur regard sur les refuseurs d’aujourd’hui ?
Podcast (6/7). Le programme des grandes écoles n’est guère à la hauteur de l’engagement écologique des étudiants. Ça change. Trop doucement.
Podcast 5/7. Comment les ingénieurs sont-ils devenus des militants écolos ? Pour Antoine Bouzin, sociologue, ils n’ont pas le choix. Interview.
Podcast 4/7. Face à l’urgence climatique, les étudiants refuseurs remettent en cause la présence d’entreprises polluantes dans leur cursus.
Podcast 3/7. Bifurquer, mais dans quel sens ? Changer les entreprises de l’intérieur ou déserter ? Chez les refuseurs, deux visions s’opposent.
Podcast (2/7). Pour les refuseurs, il y a eu un déclic : leurs études, leur métier se doivent d’être un engagement en faveur de l’écologie.
Podcast (1/7). Urgence écologique oblige, des étudiants refusent la carrière à laquelle ils étaient destinés. « Les Jours » les racontent.
Podcast. Les enfants morts in utero peuvent figurer sur le livret de famille, mais sans patronyme. Comme Gaïa, la fille de Julie et Édouard.
Podcast. Charlotte et Marine élèvent leurs enfants, qui portent le nom de leurs pères. Une situation souvent pénible, parfois invivable.
Podcast. Le patronyme transmis aux enfants reste encore et toujours celui des hommes. Comment, en tant que femme, avoir un nom à soi ?
Podcast. Alain a dû franciser son patronyme. Clara, elle, se cherche un prénom cambodgien… Les « noms à coucher dehors », c’est politique.
Podcast. Des descendants de victimes de la Shoah tiennent à retrouver leur nom juif, francisé après la Seconde Guerre mondiale.
Podcast. Enfants, Arthur et Véronique ont été violentés par leurs pères. Pour surpasser le traumatisme, changer de nom est devenu vital.