Marion Péhée consacre un film photographique à cette jeune femme violée, séquestrée et désormais maltraitée par les institutions.
Après une maîtrise de photographie et art contemporain, je me tourne vers une photographie plus documentaire et, en février 2016, je débute avec un premier travail au long cours en Ukraine traitant des conséquences du conflit sur la population civile. Ce projet a donné naissance à un livre, Not Bad, édité aux éditions Stupid Competitions, ainsi qu’à deux expositions, Adolescence dans le Donbass et Les Abandonnées du Donbass, présentées en novembre 2017 puis juin 2019 au Centre du photoreportage Géopolis, à Bruxelles.
Durant deux ans, j’effectue de nombreux allers-retours afin de mener à bien différents sujets dans l’espace post-soviétique (Ukraine, Moldavie, Georgie, Russie). Depuis, je m’attache à réaliser des sujets de société en France et à l’étranger, notamment sur des problématiques liées aux droits des femmes.
Je travaille en commande pour la presse française et internationale : Elle, Libération, La Chronique d’Amnesty International, Le Figaro, Gare de l’Est, Images, Six mois, Der Spiegel. Mais aussi en commandes institutionnelles : PMU, Caisse d’épargne, etc.
Marion Péhée consacre un film photographique à cette jeune femme violée, séquestrée et désormais maltraitée par les institutions.
Pour faciliter les plaintes des victimes de violences, une permanence policière vient d’être créée à l’Usap, l’unité qui les accueille.
À l’Unité d’accompagnement du psychotraumatisme, « Les Jours » ont pu assister à des séances de thérapie où les femmes se reconstruisent.
Marie a été poignardée par son ex-compagnon devant ses enfants. Qui ont pu être pris en charge dans le cadre du « protocole féminicide ».
En 2017, Lynda a failli mourir sous les coups de son mari. Le « protocole tentative de féminicide » a alors été enclenché pour elle et ses enfants.
Frappée et menacée de mort par son mari, Nathalie veut porter plainte. Alors l’Usap a fait venir la police à l’hôpital. Récit.
Chaque jour, des femmes victimes de violences conjugales arrivent à l’Usap. À bout, terrorisées, elles y sont accompagnées.